La Mélancolie des oiseaux, photographies de Marie Frécon

"En accédant au fonds remarquable du Muséum d’histoire naturelle de Gaillac, j’ai pu approcher certaines espèces du monde ailé rarement accessibles.
J’ai photographié ces oiseaux naturalisés – non avec l’œil de l’oiseau ouvert à 360° – mais au moins, comme des êtres vivants, cherchant à créer la mise en scène d’un réel qui glisse vers un imaginaire, ouvrant d’autres champs d’interprétations.
Techniquement, je travaille la photographie argentique, pour sa chimie et son magma, pour le rapport au temps qu’elle induit, pour le passage par la chambre noire.
Aucune image n’épuise le monde qu’elle représente, elle révèle autant qu’elle cache. Aussi, le portrait – d’hommes – fait partie de ma recherche, dans un rapport inséparable du monde végétal ou animal. Quand un visage devient porteur d’une histoire qui lui échappe, quand une intériorité imaginée vient faire surface, comme une seconde nature révélée"

Marie Frécon

Autour de l'exposition

Vendredi 25 mai | 17h | Rencontre avec l'artiste suivie du vernissage

Jeudi 9 juin | 12h45-14h | Pause café, pause musée | 2,50 €, café offert

+ d'infos

"En accédant au fonds remarquable du Muséum d’histoire naturelle de Gaillac, j’ai pu approcher certaines espèces du monde ailé rarement accessibles.
J’ai photographié ces oiseaux naturalisés – non avec l’œil de l’oiseau ouvert à 360° – mais au moins, comme des êtres vivants, cherchant à créer la mise en scène d’un réel qui glisse vers un imaginaire, ouvrant d’autres champs d’interprétations.
Techniquement, je travaille la photographie argentique, pour sa chimie et son magma, pour le rapport au temps qu’elle induit, pour le passage par la chambre noire.
Aucune image n’épuise le monde qu’elle représente, elle révèle autant qu’elle cache. Aussi, le portrait – d’hommes – fait partie de ma recherche, dans un rapport inséparable du monde végétal ou animal. Quand un visage devient porteur d’une histoire qui lui échappe, quand une intériorité imaginée vient faire surface, comme une seconde nature révélée …" - See more at: http://www.ville-gaillac.fr/sorties-loisirs/page-2...

La Mélancolie des oiseaux

Photographies de Marie Frécon

"En accédant au fonds remarquable du Muséum d’histoire naturelle de Gaillac, j’ai pu approcher certaines espèces du monde ailé rarement accessibles.
J’ai photographié ces oiseaux naturalisés – non avec l’œil de l’oiseau ouvert à 360° – mais au moins, comme des êtres vivants, cherchant à créer la mise en scène d’un réel qui glisse vers un imaginaire, ouvrant d’autres champs d’interprétations.
Techniquement, je travaille la photographie argentique, pour sa chimie et son magma, pour le rapport au temps qu’elle induit, pour le passage par la chambre noire.
Aucune image n’épuise le monde qu’elle représente, elle révèle autant qu’elle cache. Aussi, le portrait – d’hommes – fait partie de ma recherche, dans un rapport inséparable du monde végétal ou animal. Quand un visage devient porteur d’une histoire qui lui échappe, quand une intériorité imaginée vient faire surface, comme une seconde nature révélée …"

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La Mélancolie des oiseaux

Photographies de Marie Frécon

"En accédant au fonds remarquable du Muséum d’histoire naturelle de Gaillac, j’ai pu approcher certaines espèces du monde ailé rarement accessibles.
J’ai photographié ces oiseaux naturalisés – non avec l’œil de l’oiseau ouvert à 360° – mais au moins, comme des êtres vivants, cherchant à créer la mise en scène d’un réel qui glisse vers un imaginaire, ouvrant d’autres champs d’interprétations.
Techniquement, je travaille la photographie argentique, pour sa chimie et son magma, pour le rapport au temps qu’elle induit, pour le passage par la chambre noire.
Aucune image n’épuise le monde qu’elle représente, elle révèle autant qu’elle cache. Aussi, le portrait – d’hommes – fait partie de ma recherche, dans un rapport inséparable du monde végétal ou animal. Quand un visage devient porteur d’une histoire qui lui échappe, quand une intériorité imaginée vient faire surface, comme une seconde nature révélée …"

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